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Cimber
QA
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CIM
Fondée en 1950, Cimber était une compagnie régionale danoise qui a opéré des liaisons domestiques et scandinaves, puis a été relancée en 2012 comme filiale régionale de SAS. Ses atouts incluaient une bonne couverture des routes locales, des correspondances efficaces vers les hubs et une tarification compétitive sur les courts trajets, avec des opérations généralement ponctuelles. Ses limites comprenaient un réseau restreint, un confort cabine basique sur turbopropulseurs/EMB et des services à bord limités, peu adaptés aux longs courriers. Il ne s'agissait pas d'une low-cost pure mais d'un transporteur régional à service standard; aucune notation Skytrax officielle n'est connue.
Cimber (code IATA : QA) n’exploite plus de vols commerciaux réguliers. Si vous voyez encore « QA » dans un itinéraire ou si vous détenez un ancien billet, les règles applicables sont celles du transporteur effectif indiqué sur votre réservation. Les informations ci‑dessous résument les pratiques généralement suivies par les compagnies européennes et les repères IATA pour le transport d’animaux, afin de vous aider à préparer votre voyage en toute sérénité. Pour un cas précis, vérifiez toujours les exigences du transporteur opérant, ainsi que la réglementation vétérinaire du pays de départ et d’arrivée.
Quand l’animal est de petite taille et peut rester dans un contenant placé sous le siège, il voyage en cabine. La plupart des compagnies limitent le nombre d’animaux par vol et exigent une réservation préalable ; votre compagnon doit rester entièrement dans son sac rigide ou souple, bien ventilé, sans odeur ni nuisance sonore excessive. Les chiens d’assistance reconnus sont en général admis en cabine sans frais, avec harnais et documentation adaptée, y compris sur les vols internationaux. À l’inverse, les rongeurs, reptiles et oiseaux sont souvent refusés en cabine pour des raisons sanitaires ou de sécurité.
Pour les animaux plus grands, la soute pressurisée et climatisée est l’option prévue. Le transport y est réalisé dans une caisse conforme aux règles IATA (coque rigide, fermeture sécurisée, aération sur plusieurs faces), l’animal pouvant se tenir debout et se retourner sans contrainte. Des restrictions saisonnières existent lors de fortes chaleurs ou de froid intense, et de nombreuses compagnies limitent ou interdisent le transport des races brachycéphales (bouledogues, carlins, etc.) en raison des risques respiratoires. En cas de dimensions ou de poids élevés, l’acheminement peut basculer vers le service fret/animalerie spécialisée.
En cabine, les formats acceptés varient, mais se situent généralement autour de 40–46 cm de long, 25–35 cm de large et 20–28 cm de haut, pour un poids total (animal + contenant) plafonné à 7–8 kg. Le sac doit rester fermé durant le vol et se glisser sous le siège devant vous ; on accepte en principe un seul animal par passager. Un espace suffisant pour que l’animal puisse s’allonger confortablement est requis, même dans un sac souple.
En soute, la caisse doit être rigide (plastique ou fibre), assemblée par vis/boulons, avec bac d’eau fixé, litière absorbante et étiquetage clair (nom, numéro, sens « haut »). Le poids autorisé se situe souvent jusqu’à 32 kg pour l’ensemble animal + caisse en bagage en soute, au‑delà le fret est requis. Les dimensions maximales dépendent du type d’avion ; pour les gabarits hors norme, anticipez une prise en charge cargo. Le transport de deux animaux adultes dans la même caisse est en général interdit ; une exception peut exister pour des chiots/ chatons d’une même portée âgés de moins de 6 mois, sous conditions.
Pour les voyages intra‑UE avec chiens, chats ou furets, un passeport européen pour animal de compagnie est requis, avec puce électronique ISO 11784/11785, vaccination antirabique valide (au moins 21 jours après la primo‑injection) et rappels à jour. Hors UE vers l’UE, un certificat sanitaire européen (modèle officiel) délivré par un vétérinaire autorisé dans les 10 jours précédant l’entrée est nécessaire, accompagné de la preuve de vaccination antirabique. Certains pays imposent un traitement antiparasitaire spécifique (par exemple l’échinococcose pour les chiens à destination de l’Irlande, de Malte, de la Finlande). Les animaux de soutien émotionnel ne bénéficient pas d’un statut d’assistance en Europe : ils suivent les règles standard.
N’oubliez pas que des autorisations d’importation, quarantaines ou interdictions d’espèces peuvent s’appliquer selon la destination. Conservez sur vous les originaux et des copies numériques des documents, et prévoyez un passage au comptoir d’enregistrement plus tôt pour la vérification vétérinaire. L’usage de sédatifs est déconseillé par la plupart des compagnies et associations vétérinaires en raison des risques en altitude ; privilégiez l’acclimatation progressive à la caisse.
Les frais sont facturés par trajet et par animal, distincts de la franchise bagage : à titre indicatif, on voit souvent 30–70 € en cabine sur réseau européen, et 60–200 € en soute selon le poids et la distance. Les chiens d’assistance reconnus sont normalement transportés sans frais. Les compagnies fixent aussi des quotas (par exemple 2–4 animaux maximum en cabine par vol) et peuvent restreindre l’accès à certaines cabines (ex. pas d’animaux en Business sur des appareils sans espace sous siège).
Des limites d’âge sont courantes : pas d’animaux de moins de 8 semaines (parfois 12) ni femelles en fin de gestation. Les espèces non domestiques, les rongeurs, les lapins, les reptiles et certaines espèces d’oiseaux sont souvent refusés en cabine, parfois en soute. Les itinéraires vers le Royaume‑Uni, l’Irlande ou certaines îles peuvent imposer un acheminement cargo uniquement. Vérifiez enfin les « embargos température » sur l’aéroport d’origine/escale/destination.
Commencez l’acclimatation 2–3 semaines avant le départ : laissez la caisse ouverte à la maison, associez‑la à des récompenses, puis fermez‑la par petites sessions. La veille, identifiez la caisse à l’intérieur et à l’extérieur, joignez vos coordonnées et celles de votre vétérinaire, et placez une alèse absorbante. Le jour J, offrez un repas léger 4 heures avant, de l’eau en quantité raisonnable, et une promenade juste avant l’enregistrement. Choisissez si possible un vol direct et évitez les correspondances courtes par temps extrême.
• Mini‑checklist : passeport/certificat et preuves de vaccination, puce lisible, caisse homologuée et étiquettes, réservation confirmée pour l’animal, moyens de paiement pour les frais, collier/harnachement, sacs et alèse, serviette/linge portant votre odeur. En cas de doute, contactez le transporteur opérant au plus tard 48 heures avant le départ. Pour éviter toute mauvaise surprise, obtenez une confirmation écrite des dimensions, du poids accepté et des frais annoncés.
En résumé, même si Cimber (QA) n’opère plus, les standards européens et IATA offrent un cadre clair : contenants adaptés, documents en règle, réservation anticipée et préparation douce. Avec ces repères et une vérification ciblée auprès de la compagnie qui fait réellement voler votre itinéraire, vous mettrez toutes les chances du côté de votre animal pour un voyage sûr et apaisé.
Cimber (code IATA QA) n’exploite plus de vols. Si votre itinéraire affiche encore un code QA, il sera en pratique « opéré par » une autre compagnie. Les règles applicables sont alors celles du transporteur exploitant. Ce guide rassemble les standards les plus courants en Europe pour voyager avec des enfants, afin de vous aider à préparer votre trajet en toute sérénité — et vous indique les points à vérifier. Pour éviter toute mauvaise surprise, confirmez toujours auprès du transporteur exploitant les éléments essentiels (siège bébé, bagages, services à bord).
Les compagnies européennes distinguent généralement trois catégories: bébé (nourrisson) 0–23 mois, enfant 2–11 ans et adulte dès 12 ans pour la tarification. Les bébés de moins de 7 jours ne sont en principe pas acceptés, ou seulement avec certificat médical; si votre nouveau-né est très jeune, anticipez une attestation. Un adulte ne peut en général prendre qu’un seul nourrisson sur ses genoux; un second bébé devra disposer de son propre siège. Si un enfant voyage sans ses parents, le service « mineur non accompagné » et les autorisations de sortie dépendent du transporteur opérant et du pays de départ; informez-vous tôt pour rassembler les documents requis.
Jusqu’à 2 ans, votre enfant peut voyager sur vos genoux avec une tarification « infant » (souvent un pourcentage du tarif adulte sur l’international, taxes en sus). Pour plus de confort et de sécurité, vous pouvez acheter un siège dédié pour le nourrisson et y installer un dispositif de retenue homologué. Notez qu’il existe des limites de placement: pas de siège bébé sur les rangées issues de secours, et souvent obligation d’installer l’enfant côté hublot pour ne pas bloquer l’évacuation. Les rangées disposent d’un nombre limité de masques à oxygène; l’équipage peut donc réattribuer des sièges si plusieurs bébés sont présents dans la même section.
Un bébé sans siège n’a en général pas de franchise de bagage enregistré propre, mais un sac à langer en cabine est toléré en plus de l’allocation de l’adulte, et les accessoires de type poussette/siège auto sont habituellement transportés gratuitement. Un enfant avec siège bénéficie de la franchise cabine et enregistrée liée au tarif réservé, le plus souvent identique à celle d’un adulte en classe Éco. Les liquides pour bébé (lait, eau stérilisée, petits pots) sont autorisés au contrôle en quantités « raisonnables » au-delà de 100 ml; sortez-les du bagage et prévoyez un peu de temps pour l’inspection. Pour éviter les débordements, répartissez les couches, lingettes et tenues de rechange entre cabine et soute.
Cimber (IATA : QA) n’opère plus aujourd’hui. La compagnie a longtemps assuré des vols régionaux pour SAS ; en pratique, la fidélité se jouait via le programme SAS EuroBonus plutôt que par un programme maison. Si vous cherchez comment cumuler ou utiliser des points sur des itinéraires historiquement opérés par Cimber, c’est donc EuroBonus qu’il faut connaître. Ce guide vous explique les niveaux, la façon de gagner et d’utiliser les points, ainsi que les avantages clés — avec les nuances à garder en tête lorsque l’alliance ou les règles évoluent.
EuroBonus comporte quatre paliers : Member, Silver, Gold et Diamond. La qualification se fait sur 12 mois glissants en cumulant des points de statut (issus surtout des vols) ou un certain nombre de trajets qualifiants avec SAS et quelques partenaires régionaux. À titre indicatif, les seuils les plus courants ont longtemps été d’environ 20 000 points ou 10 vols pour Silver, 45 000 points ou 45 vols pour Gold, et 90 000 points ou 90 vols pour Diamond. Les intitulés et seuils peuvent changer : vérifiez toujours les règles à jour d’EuroBonus avant de viser un palier.
Lorsque Cimber opérait des vols pour SAS, les billets commercialisés sous code SK permettaient de cumuler comme sur un vol SAS, en fonction de la classe tarifaire et de la distance. Aujourd’hui, l’accumulation se concentre sur les vols SAS et les compagnies partenaires de son alliance en vigueur, ainsi que sur des partenaires non aériens (hôtels, locations de voiture, e‑shops et, selon votre pays, cartes de crédit co‑brand). Les tarifs « light » créditent souvent moins, tandis que les classes plus flexibles rapportent davantage de points de statut. Pensez à enregistrer votre numéro EuroBonus au moment de la réservation pour éviter toute perte d’attribution.
Les points EuroBonus s’échangent contre des billets prime sur SAS et sur des transporteurs partenaires d’alliance, avec des taxes et surcharges variables. Vous pouvez souvent réserver des allers simples, mixer points + argent et viser une cabine supérieure pour obtenir une meilleure valeur par point, surtout sur le long‑courrier. Les surclassements avec points sont possibles sur certains vols SAS (par exemple d’Économie vers SAS Plus ou Business), parfois via liste d’attente selon la disponibilité. Au‑delà des vols, il existe des options non aériennes — nuits d’hôtel, location de voiture, bons d’achat — utiles pour écouler un solde, même si la valeur par point y est généralement plus faible.
Cimber (QA) a été un spécialiste danois du transport régional, opérant principalement en affrètement pour Scandinavian Airlines (SAS). Dans ses dernières années d’activité (2016–2018), sa flotte active se concentrait sur une douzaine de Bombardier CRJ900, un biréacteur taillé pour les liaisons nordiques à forte fréquence. Auparavant, la compagnie avait exploité des CRJ200 de 50 sièges, progressivement retirés avec la montée en puissance du CRJ900. Les avions arboraient la livrée SAS et volaient sous numéros de vol SAS, ce qui explique que beaucoup de voyageurs n’apercevaient pas toujours le nom Cimber. Aujourd’hui, Cimber n’exploite plus d’appareils en propre, l’entité ayant été intégrée à CityJet en 2018.
Le cœur de flotte était le CRJ900, configuré en 2–2 sur toute la cabine avec environ 88–90 sièges. Sur ces appareils, SAS appliquait une logique de cabine européenne flexible: SAS Plus à l’avant et SAS Go au reste de la cabine, sans cloison physique, avec la même assise mais des services et une franchise bagage différenciés. L’ambiance restait sobre et efficace: sièges fins modernes, bons coffres à bagages pour un bagage cabine standard, et un embarquement rapide grâce à la configuration à couloir unique. Pour les trajets de pointe intra-scandinaves, ce format offrait un compromis très pertinent entre capacité et coûts.
Avant leur retrait, les CRJ200 offraient 50 sièges en 2–2, idéals pour les routes fines au Danemark et en Scandinavie. Ils avaient des coffres plus modestes et une autonomie moindre, mais permettaient d’assurer des fréquences élevées là où la demande ne justifiait pas un appareil plus grand. Cimber les a progressivement remplacés par des CRJ900, plus efficients par siège et mieux adaptés à l’harmonisation de flotte voulue par SAS. Cette transition a simplifié la maintenance et amélioré la régularité opérationnelle.
Les CRJ900 opérés par Cimber provenaient majoritairement de séries produites à la fin des années 2000 et au début des années 2010. Plusieurs cellules ont reçu des rafraîchissements cabine et des mises à jour avioniques durant la période SAS, afin d’aligner l’expérience à bord sur le standard de la flotte régionale. Les CRJ200, plus anciens, avaient souvent été construits autour de 1999–2004, ce qui se traduisait par des moteurs et des systèmes d’une génération antérieure. La bascule vers le CRJ900 a donc non seulement rajeuni l’âge moyen, mais aussi réduit le bruit perçu en cabine et au sol.
Avant toute chose, un point clé: Cimber (code IATA QA) n’exploite plus de vols réguliers. Si votre billet affiche QA, vous voyagez presque toujours sur un vol opéré par une autre compagnie (par exemple un partenaire régional). Le service de restauration suit alors les règles de l’opérateur réel (« operated by » sur votre réservation). Dans ce contexte, il n’existe pas de menu unique “Cimber”, mais des pratiques communes en Europe que vous pouvez utiliser pour planifier votre repas à bord. Ce guide vous aide à anticiper ce que vous aurez à bord et à demander ce qu’il vous faut au bon moment.
Sur les liaisons court-courrier (jusqu’à ~2 h), attendez‑vous surtout à des collations emballées et à des boissons; les repas chauds sont rares sur ces durées. Entre 2 et 3 h, beaucoup d’opérateurs européens proposent un service payant à la carte (sandwichs, wraps, salades) en Économie, tandis qu’une cabine Affaires ou Premium inclut souvent un plateau léger. Au‑delà, si votre itinéraire QA comprend un tronçon long‑courrier opéré par une grande compagnie, un repas chaud complet et un second service sont généralement inclus. Cimber n’exploitait pas elle‑même de long‑courrier; c’est donc la politique de la compagnie opérante qui prévaut pour le type et le rythme des repas.
Pour les régimes particuliers (végétarien, végétalien, sans gluten, halal, casher), la disponibilité sur les vols très courts est limitée, quel que soit l’opérateur. Sur les vols plus longs, la plupart des compagnies permettent de demander un repas spécial au moins 24 à 48 heures avant le départ; sans demande préalable, il n’y a souvent pas d’alternative garantie. En cas d’allergies sévères, surtout aux arachides, informez l’opérateur dès la réservation et de nouveau à la porte; l’équipage peut faire des annonces de précaution, mais aucune compagnie ne peut garantir un environnement totalement exempt d’allergènes. Par prudence, apportez des en‑cas scellés compatibles avec votre régime et gardez vos médicaments d’urgence à portée de main.
La qualité et la variété dépendent fortement de l’opérateur réel, mais la tendance en Europe est à des produits simples, frais quand c’est possible, et à des portions adaptées à la durée du vol. Côté boissons, l’eau et les boissons chaudes sont courantes, parfois offertes; les sodas et jus sont généralement disponibles, soit à l’achat en , soit inclus en cabine supérieure. N’espérez pas une carte très longue sur un vol régional; la sélection tourne souvent autour de snacks salés/sucrés, d’un sandwich ou d’une salade, et d’un choix de bières et vins. Si vous êtes attentif à la fraîcheur, commandez tôt lorsque l’équipage commence le service: les options populaires partent vite.
Cimber (IATA: QA) a cessé ses opérations en 2018, et ses vols étaient majoritairement opérés en wet-lease pour SAS sur des avions régionaux comme le CRJ-900. Cela a un impact direct sur le divertissement: sur ces appareils compacts, il n’y avait généralement pas d’écrans individuels ni de portail multimédia intégré. Les passagers voyageaient donc avec une offre essentiellement « légère »: annonces de l’équipage, lecture personnelle et, selon les périodes, un magazine de bord de l’opérateur. Si vous voyez aujourd’hui un numéro de vol QA associé à un partenaire, attendez-vous à ce que l’expérience de divertissement suive la politique du transporteur effectif. En résumé, l’approche était de type BYOD: bring your own device.
L’accès au divertissement se faisait avant tout par vos propres appareils, car les CRJ-900 opérés pour Cimber n’étaient pas équipés de sièges avec écrans ni de serveurs de streaming locaux. Il n’y avait pas de bibliothèque embarquée de films, séries, musique ou jeux accessible via un réseau interne. Vous pouviez emporter tablette, smartphone ou liseuse pour occuper le temps de vol, en veillant à disposer de contenus téléchargés à l’avance. Les pochettes sièges proposaient parfois un magazine et des consignes de sécurité, mais rien de numérique dédié. Cette configuration restait cohérente avec la vocation court et moyen-courrier de la compagnie.
Parce que le contenu n’était pas fourni par le système de bord, la « variété » dépendait entièrement de ce que vous aviez préchargé. Pour les films et séries, l’option la plus fiable était de télécharger en amont depuis vos plateformes préférées, en qualité adaptée à l’autonomie de votre batterie. La musique hors ligne, les podcasts et les livres numériques offraient une excellente alternative, particulièrement appréciée sur des trajets courts. Côté jeux, privilégiez ceux qui fonctionnent hors connexion et ne consomment pas trop d’énergie. Cette stratégie vous garantissait une expérience fluide sans dépendre d’une infrastructure inexistante.
Les appareils exploités pour Cimber étaient configurés en une seule cabine ou avec une différenciation de service limitée, sans système IFE distinct. Même en cas de segmentation tarifaire (si le vol était commercialisé par un partenaire avec plusieurs classes), le divertissement restait identique: pas d’écrans intégrés et pas de portail. Les différences pouvaient porter sur l’espace, la flexibilité ou la collation, mais pas sur un accès privilégié à des contenus. Ainsi, quel que soit votre siège, la meilleure expérience venait de vos propres préparatifs. Cela uniformisait l’attente: simple, fonctionnelle et centrée sur vos appareils.
Vous pouvez apporter une poussette et souvent un siège auto par enfant sans frais: la poussette peut être utilisée jusqu’à la porte de l’avion puis remise à l’équipage, avec restitution au pied de l’appareil ou au tapis des objets volumineux. Les berceaux (bassinet) ne sont proposés que sur certains appareils long‑courriers; sur les avions régionaux, ils sont rarement disponibles. S’ils existent, ils doivent être réservés à l’avance et sont soumis à des limites de taille/poids; demandez l’attribution des rangées dédiées au moment de la réservation.
Pour installer un siège auto à bord, il faut acheter un siège pour l’enfant et utiliser un modèle homologué (étiquettes UN ECE R44/04, UN R129/i‑Size, ou mention FAA « This restraint is certified for use in aircraft »). L’installation se fait généralement côté hublot, jamais sur les issues de secours; l’équipage peut refuser un dispositif trop large ou non conforme. Les harnais type CARES sont souvent acceptés sur les vols équipés de ceintures standard, mais là encore, validez ce point avant le départ.
Sur la plupart des vols court‑courriers, il n’y a pas de menu enfant spécifique; emportez des en-cas familiers et une gourde vide à remplir après la sécurité. Sur long‑courrier, un repas enfant peut parfois être précommandé 24–48 h avant; c’est utile si votre vol QA est opéré par une grande compagnie réseau. Les équipages fournissent habituellement de l’eau chaude pour les biberons et peuvent réchauffer un pot scellé; évitez toutefois les recettes exigeant un micro‑ondes.
Les familles avec jeunes enfants bénéficient souvent d’un embarquement prioritaire; annoncez-vous à la porte pour en profiter. Pour rester assis ensemble, sélectionnez vos places le plus tôt possible; de nombreuses compagnies regroupent automatiquement un mineur avec l’adulte accompagnant, mais ce n’est pas garanti lorsque le vol est complet. Côté divertissements, préchargez dessins animés, livres audio et jeux hors‑ligne, et n’oubliez pas un casque adapté à la taille de l’enfant.
Planifiez vos horaires en fonction des siestes et prévoyez une tenue en couches pour gérer la température de cabine. Pendant le décollage et l’atterrissage, faire boire l’enfant (biberon, tétine, gourde) aide à équilibrer la pression dans les oreilles. Effectuez un dernier passage aux toilettes avant l’embarquement et gardez sous la main un kit compact (couches, lingettes, sac étanche, tenue de rechange). Si vous voyagez seul avec votre enfant, emportez les documents d’autorisation requis par le pays de départ/arrivée et la preuve de filiation.
• Check‑list rapide: pièces d’identité, confirmations de siège/berceau, homologation du siège auto, réservations de repas, médicaments essentiels, thermomètre, sacs zip, bavoirs et tenue de secours pour le parent.
En résumé, ce que vous vivrez dépendra de la compagnie qui opère réellement votre vol affiché QA. Utilisez ce cadre comme base de préparation et validez les détails auprès du transporteur exploitant quelques jours avant le départ; vous gagnerez en tranquillité, et votre enfant aussi.
Le palier Silver améliore l’expérience dès le sol : enregistrement prioritaire sur SAS, priorité en liste d’attente et parfois un accès lounge limité selon les périodes et aéroports. Avec Gold, vous basculez dans l’univers « élite » d’alliance : accès aux salons SAS et partenaires, files prioritaires, embarquement prioritaire et généralement une franchise bagage supplémentaire sur SAS et de nombreux partenaires. Le niveau Diamond ajoute des avantages maison appréciés (service prioritaire dédié, meilleures disponibilités primes, options de sièges plus souples, et parfois la possibilité d’« offrir » un statut Gold). Les droits précis (salons, bagages, files prioritaires) dépendent de l’alliance et de la compagnie opératrice ; consultez les conditions à jour pour éviter les mauvaises surprises.
En résumé, même si Cimber (QA) n’a pas son propre programme, votre stratégie fidélité passe par SAS EuroBonus : cumuler intelligemment sur les vols pertinents, connaître les paliers et leurs avantages, puis employer vos points là où ils valent le plus. Vérifiez toujours l’alliance et la liste de partenaires en vigueur au moment du voyage, afin d’optimiser l’accumulation et l’accès aux salons, aux priorités et aux franchises bagages.
La stratégie de Cimber a été fortement guidée par SAS: retrait rapide des CRJ200 vers 2015, puis recentrage sur le CRJ900. En 2017, SAS a cédé Cimber à CityJet; l’exploitation s’est poursuivie dans le cadre d’accords d’affrètement pour SAS, avant l’extinction de l’AOC Cimber en 2018. Il n’y avait pas de commandes d’appareils «propre Cimber» au-delà de cette période: les choix de flotte ont été intégrés aux plans plus larges de SAS et de ses partenaires. Autrement dit, l’«avenir» de la flotte Cimber s’est transformé en continuité opérationnelle… mais sous une autre bannière.
Le passage au CRJ900 a représenté un vrai gain environnemental: par siège, l’appareil consomme sensiblement moins qu’un CRJ200 (de l’ordre de 20–25% en moins selon les missions). Les winglets, une masse cabine optimisée et des procédures comme le roulage sur un seul moteur ou les approches continues ont soutenu cette amélioration. En tant qu’opérateur pour SAS, Cimber appliquait les standards de la compagnie en matière d’EFB (cockpit sans papier), de réduction du poids embarqué et d’optimisation des plans de vol. Lorsque SAS menait des vols à carburant durable sur certaines lignes, les partenaires comme Cimber adoptaient les mêmes cadres opérationnels et de reporting.
Le code IATA de Cimber était QA, et son indicatif radio restait «CIMBER», même si la plupart des vols portaient un numéro SAS. Sa base opérationnelle principale était Copenhague-Kastrup, avec un ancrage historique au sud du Jutland. Si l’on remonte plus loin dans l’histoire du groupe Cimber, on retrouve des ATR 42/72 et, à l’époque de Cimber Sterling, même des Boeing 737; mais la période QA s’est distinguée par son orientation 100% jet régional. En résumé, une flotte compacte, homogène et pensée pour la régularité, qui a discrètement maillé la Scandinavie au quotidien.
Beaucoup d’opérateurs permettent la précommande de repas sur les vols de plus de 2 à 3 heures, voire la sélection payante d’options « gourmandes » en Économie. Cherchez le bouton « Gérer ma réservation » ou « Repas à bord »; la fenêtre de commande ferme souvent 24 à 72 heures avant le départ, et se rouvre rarement à l’aéroport. Conservez la confirmation de précommande sur votre téléphone; en cas de changement d’avion, elle aidera l’équipage à vérifier que votre repas a bien été chargé.
La politique d’alcool suit l’opérateur et la réglementation du pays; en Europe, la bière et le vin sont souvent en vente en Économie et inclus en cabine premium sur les vols non‑très‑courts. L’alcool personnel ne peut pas être consommé à bord, même s’il a été acheté en duty‑free; c’est une règle commune et strictement appliquée. L’équipage peut refuser de servir ou interrompre le service à tout passager manifestement ivre; l’âge légal applicable dépend de la juridiction du vol. Si vous souhaitez une consommation modérée, demandez de l’eau en parallèle afin de rester hydraté.
Il n’existe pas de partenariat gastronomique propre à Cimber aujourd’hui, la compagnie étant inactive. Selon l’opérateur réel de votre vol QA, vous pourrez toutefois retrouver des fournisseurs locaux connus ou des recettes signature; consultez la page restauration de l’opérateur pour les détails les plus à jour. Lorsque QA apparaissait sur des vols opérés pour de grands transporteurs nordiques, l’offre reflétait leurs standards plutôt que ceux de Cimber elle‑même.
Pour éviter les surprises, le réflexe le plus utile est d’identifier l’opérateur réel et d’anticiper vos besoins alimentaires avant le jour J. Voici quelques repères simples à appliquer:
Les CRJ-900 associés aux opérations de Cimber n’offraient généralement pas de Wi‑Fi en vol. Sur un vol court, cela réduit la complexité mais renforce l’importance de préparer du contenu offline. Si votre itinéraire combine un segment QA opéré par un partenaire disposant d’un internet à bord, les conditions (tarifs, couverture, restrictions de streaming) dépendent alors de ce transporteur. N’espérez pas de streaming en direct ni de messagerie « gratuite » sur les segments historiquement opérés par Cimber. Le mot d’ordre reste donc: télécharger avant d’embarquer.
Cimber ne mettait pas en avant de partenariats spécifiques avec des studios, plateformes de VOD ou éditeurs audio, faute d’un système IFE dédié. Sur certains vols opérés pour le compte d’une grande compagnie, on pouvait retrouver le magazine de marque de cette dernière, mais il ne s’agissait pas d’un « catalogue » numérique. Pas de sélection mensuelle de films ni de playlists thématiques à bord de ces appareils régionaux. Si vous êtes habitué à des long-courriers dotés d’accords contenus étendus, ajustez vos attentes pour ces avions plus compacts. C’est une expérience volontairement épurée.
Pour tirer le maximum d’un vol sans IFE, la préparation fait toute la différence. Téléchargez vos films, séries, podcasts et playlists avant le départ, et testez qu’ils se lancent hors ligne. Prévoyez des écouteurs filaires ou un adaptateur si vous utilisez un casque sans fil, et emportez une petite batterie externe — l’alimentation à bord peut être limitée. Songez aussi à des contenus « légers » qui fonctionnent bien en environnement bruyant: livres audio, puzzles et jeux solo. Enfin, réduisez la luminosité et activez le mode avion pour préserver l’autonomie.
Il ne semble pas y avoir de vols directs de "Cimber" pour le moment.... Ou alors quelque chose s'est mal passé de notre côté et nous n'avons rien trouvé
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